Sujet: Ostara Pratchman - La Triple Déesse Mer 7 Mar 2018 - 9:37
Ostara Pratchman
~ Le vent se lève !… Il faut tenter de vivre ! L’air immense ouvre et referme mon livre, La vague en poudre ose jaillir des rocs ! Envolez-vous, pages tout éblouies ! Rompez, vagues ! Rompez d’eaux réjouies Ce toit tranquille où picoraient des focs ! ~
Paul Valéry - Le Cimetière Marin
Age : 23 ans
Profession: Auteure-illustratrice
Nationalité : Écossaise
Groupe: Les Protecteurs
Orientation: Pansexuelle
Statut: Célibataire
Que de pouvoirs!
Dons Extra-sensoriels - Divination (lvl 5)
Au début, ce n'était que des rêves, des sensations qui s'imposaient à elle et petit à petit devenaient réels. Puis au fur et à mesure, le pouvoir est devenu de plus en plus palpable, dirons-nous. Maintenant, Ostara peut de mieux en mieux contrôler ce don : elle est capable - par exemple - d'entrer dans une sorte de transe qui lui permet de faire des rêves divinatoires sur commande ou bien elle peut se concentrer sur un objet, sur une personne et entre-apercevoir des choses sur le passé, le présent ou bien le futur de cet objet, de cette personne. Bien-sûr, parfois elle échoue. Parfois elle ne contrôle pas et des visions, des transes s'imposent encore à elle sans qu'elle ne les commande. Elle a encore bien des choses à apprendre avant de maîtriser parfaitement son don.
Magie Noire - Nécromancie (lvl 2)
Elle a toujours aimé les cimetières. Leur ambiance calme et sereine - que d'autres appelleront lugubre - lui a toujours permis de se sentir à l'aise. C'est dans ce genre de lieu qu'elle aime se perdre pour dessiner, écrire, réfléchir... Un jour brumeux d'automne, proche de la fête de Samhain, elle a ressenti soudain quelque chose de... Nouveau. Assise sur un banc, proche d'une tombe ancienne et abandonnée lui est venu une sorte d'appel, pouvons-nous dire. Surprise, elle a relevé la tête, posé ses feuilles et ses crayons et regardé autour d'elle. Doucement, elle a suivi la voix qu'elle semblait entendre jusqu'à la vieille tombe en ruine. Et tout c'est imposé à elle. La naissance, la vie, la mort d'un défunt enterré là et oublié depuis des siècles. Elle a posé la main sur la pierre froide. Boum. Boum. Boum. Le bruit d'un battement de cœur dans les profondeurs de la tombe. Et soudain, plus rien. Le silence complet. Elle s'est réveillée dans la lumière d'un soleil froid propre aux après-midi d'automne, évanouie sur un sol couvert de feuilles dorées. Elle sait maintenant que ce pouvoir est en elle et même s'il l'effraie, si elle n'a aucun contrôle dessus et qu'il est encore très faible, elle espère bien le développer un jour.
Magie Blanche - Bénédiction (lvl 1)
Bénir quelqu'un ou quelque chose, qu'est-ce que c'est, exactement ? Le protéger de ce qu'il peut lui arriver de pire ? En faire quelqu'un ou quelque chose de bien ? Elle ne le sait pas vraiment. Pas encore, en tout cas. Tout ce qu'elle sait, pour l'instant, c'est qu'elle est capable de faire quelque chose à ce propos. Elle l'a fait une fois. C'était faible, c'était court mais elle l'a fait. Avec un mélange d'épices, de fleurs et d'incantation de sa propre invention, elle a senti qu'elle avait réussi à bénir la pièce où elle se trouvait pendant quelques instants. Pendant quelques instants, toutes les mauvaises ondes s'étaient comme envolées. Il ne restait autour d'elle que paix, sérénité et bien-être. Ça n'avait pas duré, elle n'arrivait plus vraiment à le faire mais elle savait. Elle savait que c'était possible, qu'elle en avait - au plus profond d'elle même - le pouvoir.
Arts - Littérature & Illustration (lvl 6)
Depuis toute petite, Ostara aime lire, écrire et dessiner. Dans ce domaine-là, elle a toujours été en avance sur ses pairs et elle en a d'ailleurs fait son métier. Si pour le moment elle reste une auteure-illustratrice que l'on pourrait qualifier de régionale, elle espère bien qu'un jour ses ouvrages se vendront à travers tout le pays voire à travers le monde entier. Elle écrit autant pour les enfants que pour les adultes et est plutôt tournée vers un style fantastique, onirique. Elle aime assombrir les légendes que tout le monde connait par des histoires et des dessins sombres et parfois violents psychologiquement mais elle aime aussi créer sur des thèmes joyeux et colorés. Tout dépend de son état d'esprit, de la saison et de ses sentiments.
Qui es-tu ?
Elle a toujours été plus petite que la moyenne. D’un aspect plus frêle, plus fragile, plus secret. Ses grands yeux bruns ouverts sur le monde, sa bouche toujours légèrement entr’ouverte lui donnant un air d’ailleurs, un air rêveur. Son nez a longtemps été la source de bien des complexes, bien des railleries. « Ostara la sorcièrheu, Ostara la sorcièrheu ! » est un refrain qu’elle n’a que trop bien connu, au cours de sa scolarité. Un nez un peu trop long, un peu recourbé au bout lui donnant parfois l’air d’être légèrement crochu… Elle l’a longtemps – très longtemps – détesté. Jusqu’à en faire une force. Une fierté. En faire même son identité. Oui, elle est une sorcière. Elle en est convaincue tout au fond d’elle. Et être une sorcière, ce n’est pas mal.
Ses tenues vestimentaires sont à l’image de la jeune femme et de ce qu’il se passe tout au-dedans de sa boîte crânienne. Elle aime les longes robes noires – parfois blanches, plus rarement rouges – serrées à la taille et évasées sur les longueurs, les cols claudines et les lourdes chaussures à la Dr. Martens. Elle aime les bijoux discrets mais chargés en énergies, en croyances. C’est une païenne et elle aime le montrer de façon discrète. Ses motifs privilégiés sont les lunes, les soleils, les étoiles, les éléments de la nature et parfois de discrets crânes. Elle apprécie particulièrement les bijoux en bois ou en pierre et les camés. Cela dit, elle ne porte pas beaucoup de bijoux à la fois : des boucles d’oreilles, un pendentif, quelques fins bracelets et parfois une ou deux bagues d’argent.
Malgré son aspect frêle et fragile, la demoiselle est une force de la nature. Jamais malade, elle est aussi capable de faire face à bien des tempêtes. Cela dit, elle a aussi un côté très sensible au monde qui l’entoure et fait preuve de beaucoup d’altruisme et d’abnégation envers autrui. Cependant, elle se sent parfois mentalement confuse, ressentant une myriade d’émotions plus ou moins contradictoires en même temps. Un peu perdue pendant ses moments-là, elle peut sembler se recroqueviller sur elle-même et se refermer comme une huître aux autres et au monde.
à quoi tu penses ?
Compliqué. Ni tout blanc, ni tout noir. La jeune fille n’a pas un caractère linéaire. Parfois même on pourrait penser qu’il existe plusieurs Ostara dans sa seule et unique personne. À l’image de la Déesse qui s’est réincarnée en elle la jeune fille semble avoir plusieurs phases – de la plus lumineuse à la plus sombre, en passant par la plus insouciante. Le changement dépend plus ou moins des saisons, de la lune mais aussi bien-sûr des événements qui traversent la vie jusqu’ici tranquille de notre charmante petite brune.
Très portée vers la nature, Ostara est végétarienne. Son credo est que toute vie doit être respectée et que les Hommes – tout comme les Dieux d’ailleurs – ne sont au-dessus d’aucune autre espèce. Juste, égalitaire et sensible, elle n’a de cesse de tenter de protéger autrui et de défendre les plus faibles. Cela dit, elle peut se montrer intransigeante voire cruelle avec ceux dont elle désapprouve les actions ou la façon de penser.
Sensible, elle est aussi très solitaire et se renferme facilement dans une sorte de coquille, de carapace ou encore de cocon secret et impénétrable. Elle peut tout de même se montrer très sociable, bavarde et souriante. Son côté légèrement lunatique peut parfois – voire même souvent – dérouter son entourage et même ses plus proches amis mais sa gentillesse, sa douceur, sa fidélité et son honnêteté reprennent toujours le dessus et sont des atouts sur lesquels les autres peuvent être sûrs de pouvoir compter.
Comment es-tu arrivé ici ?
Les premiers oiseaux annonciateurs de jours plus doux chantaient à la fenêtre de la petite maisonnette de ses parents, dans le Sud de l’Ecosse, lorsque la petite fille pointa enfin le bout de son nez après neuf longs mois d’attente. Ostara – version germanique d’Éostre – déesse célébrée lors de l’équinoxe de printemps, symbole du renouveau, de la naissance et de la vie. Le choix de prénom s’est imposé à ce couple de païens non seulement pour célébrer la saison qui a vu naître leur fille, mais aussi car cette naissance inespérée est survenue après de longues années noires et douloureuses d’infertilité. Source de bonheur inconditionnel pour sa famille, la petite fille a très vite été gâté voire traitée comme une reine. Son caractère naturellement doux et altruiste lui a évité les travers d'un tel traitement même si lui est arrivé parfois de commettre quelques injustices et d'être sujette à une légère jalousie – mais nul n'est parfait.
Son enfance – calme, sereine et heureuse – s’est déroulée dans ce petit village écossais qui l’a vue naître quelques années auparavant et où la grande majorité des habitants croit aux fées, à la magie et aux légendes. Elle-même a grandi au son de ces histoires, des musiques traditionnelles qui font frémir les Highlands d’une magie visible pour ceux qui ont encore un cœur d’enfant et d’un prêtre lui-même plus païen qu’autre chose qui – tous les dimanches à l’Eglise – conseille à la population locale de laisser un petit bol de lait ou de wiskey sur le bord de sa fenêtre la nuit, pour les êtres de Faërie qui passeraient par-là. Sa nourrice, qui s’occupait d’elle lorsque ses parents travaillaient au sein de l’unique épicerie du village, avait la réputation d’être une sorcière. Mais dans leur communauté, on ne les chassait pas – bien au contraire. La jeune fille était glorifiée, écoutée et même les anciens auraient craint de lui manquer de respect. C’est elle qui apprit à Ostara les arcanes de la voyance par les cartes, des plantes magiques et des incantations, jusqu’à ce qu’elle découvre que la petite fille faisait des rêves… Intéressants.
La jeune Ostara a donc grandi sous le regard bienveillant de sa famille et de la petite communauté que formait son village et ses habitants. Très vite un don pour la lecture, l’écriture, le dessin et les histoires s’est éveillé en elle. Encouragée par ses parents, elle décide donc – après l’obtention du diplôme en vigueur dans son pays – de s’orienter vers des études supérieures littéraires et artistiques. Pour cela, elle se retrouve contrainte à quitter le petit nid douillet que lui offrait la vie rurale pour le tourbillon de la vie citadine à Londres. Le jour de son départ – la veille de ses dix-huit ans – sa nourrice lui donne un paquet, joliment emballé dans du papier kraft. Lorsqu’elle l’ouvre, une fois bien installée dans sa chambre universitaire, à la lumière d’une lampe de torche et en écoutant la lente respiration de sa colocataire endormie, elle y trouve plusieurs objets : • un livre manuscrit écrit de la main de sa nourrice à l’intérieur duquel sont soigneusement consignés potions, plantes, incantations et autres savoirs transmis d’une sorcière à l’autre, de génération en génération, • un pendentif en bois sculpté représentant la triple lune, • une longue lettre lui expliquant que – selon sa bien-aimée nourrice – une déesse s’est réincarnée en elle : la triple Déesse, Hécate, représentant la lune sous ses trois formes visible depuis la Terre. La jeune fille, la mère, la ville femme… L’innocence, la vie, la mort… Cette lettre lui explique aussi que la magie est en danger, qu’elle doit la protéger et trouver des gens comme elle pour l’aider. Car lutter contre les Ténèbres n’est pas chose aisée…
Tout en menant de brillantes études, la jeune fille a donc suivi les conseils donnés par son entourage : elle n’a eu de cesse de chercher des gens comme elle, d’essayer de travailler ses pouvoirs, de faire bon ménage avec la déesse qui a décidé de vivre en elle, de protéger la magie et de rester dans la Lumière. Elle a très vite compris qu’avec une déesse à triple face, ses pouvoirs et même son esprit, allaient être aussi variables qu’une girouette en haut d’un clocher, soumise au sens et à la force du vent. Aussi sombre que lumineuse, la triple Déesse lui en fait voir de toutes les couleurs mais notre jeune Ostara tient malgré tout le cap et reste capitaine de son propre navire malgré l’agitation de l’océan quelques fois. A la fin de ses études – qui a coïncidé avec la parution de son premier livre – la jeune fille a décidé de prendre quelques vacances et de rentrer chez elle, dans son village cher à son cœur après presque cinq ans d’absence. Les études, la création, la course aux artefacts et à la protection de la magie, le domptage d’une déesse et plein d’autres obstacles encore ne lui avaient malheureusement pas permis de le faire plus tôt. La veille de son départ un rêve ignoble, sombre et violent la réveilla en larmes, la rendant incapable de s’endormir de nouveau. Une inquiétude monstre vient lui clouer l’estomac. Quelque chose n’allait pas, au village. Elle le savait, elle l’avait vu en rêve. Mais sa vision était floue et elle n’arrivait pas à entrer en transe pour essayer de voir plus loin, plus juste… La déesse qui l’habitait n’était pas dans sa bonne phase… C’était la nouvelle lune, la mort, la nuit plus noire que noire…
Le village était désert. Vide. Comme si les habitants s’en étaient envolés d’un seul et même mouvement. Les maisons étaient encore propres, les lits encore chauds et les cuisines sentaient encore le pain et le lait frais. Mais plus personne n’était là. Tout le monde avait disparu. Aucune trace de lutte, aucune trace de sang… Rien. Juste… Plus personne. Une odeur de magie flottait dans l’air. Une magie sombre, puissante et inconnue de la jeune fille. Mais un espoir brillait au fond d’elle, tout doucement, comme la lune qui entrait de nouveau dans sa phase montante. L’obscurité n’était pas éternelle, elle n’était pas immuable. La solution était là, quelque part dans le vaste monde. Un vent d’espoir balaya le village. Ostara se retourna et s’en alla. Parcourir le monde, défendre la magie, chercher des artefacts, chercher des indices et chercher aussi – non, trouver – une solution pour ramener les siens à leur place, dans ce village fantôme.
Et en pratique ?
Un, deux, trois à travers bois, toutes nos craintes prennent vie. L’espoir, le courage et la magie sont les seules armes disponibles dans cet univers assombri par les grands arbres dont le feuillage cache le ciel, les étoiles et la lune. Souvent – très souvent même – Ostara se retrouve dans des bois de ce genre. Au fin fond de ses rêves, elle y trouve souvent des réponses. Même lorsqu’elle n’a posé aucune question. Toutes ses visions nocturnes commencent de la même façon. Un long chemin de terre battue serpente dans les bois – jusqu’à l’infini dirait-on – et elle le suit. Autour d’elle la forêt grouille de bruits d’animaux, de bruit de la nature qu’elle a apprit à connaître. Son parcours sur le chemin de terre est plus ou moins long selon les visions. Parfois, il semble durer toujours et d’autre fois à peine quelques secondes. Cette fois-ci, elle marche tellement longtemps qu’elle sent presque la douleur de ses pieds dans la réalité, au fond de son lit. Cette fois-ci, le chemin se termine par une porte en bois vieilli. Cette fois-ci, elle sait pourquoi elle est là, elle sait la réponse qu’elle recherche.
L’inquiétude la ronge depuis des jours. Cela fait longtemps qu’elle n’a pas eu de nouvelle de sa famille, restée dans son petit village du fin fond de l’Ecosse. Certes elle ne les appelle pas souvent, ils ne sont pas du genre à se donner des nouvelles au quotidien mais… Tout de même. Elle les a appelés plusieurs fois. À la maison. Chez sa nourrice. Au magasin. Chez des voisins. Personne ne lui a jamais répondu. Les premiers temps, elle a pensé qu’il s’agissait d’une coupure de courant au village ou d’un autre problème quelconque qui prenait un peu de temps à être pris en charge – comme c’est souvent le cas dans des villages un peu perdus du Nord de l’Europe. Mais… Un pressentiment a fait petit à petit son nid au fond de son cœur. Un mauvais pressentiment. Cependant, elle n’avait encore rien vu dans ses visions, dans ses rêves ou dans ses transes. Alors que les vacances approchaient, alors qu’elle n’avait plus mis les pieds au village depuis maintenant bientôt cinq longues années – sa famille était venue la voir cependant – elle se décida à y partir quelques jours. Pour être sûre. Le départ est prévu demain. Elle n’a toujours pas réussi à avoir quelqu’un au bout du fil pour prévenir de son arrivée. Mais tant pis. Elle se couche avec une boule au ventre, sa valise posée au pied de son lit – prête. Le temps est long avant qu’elle ne sombre dans les brumes du sommeil…
Un, deux, trois derrière cette porte en bois, peut-être trouveras-tu ce que tu cherches ? Ostara est debout devant la grande porte qui se dresse devant elle, au milieu du chemin en terre battue, au milieu des bois, au milieu de son rêve, au milieu de sa vision. Elle l’observe attentivement, le cœur battant à tout rompre. La porte est entourée de ronces aux longues épines qui semblent dessiner des motifs complexe. Doucement, elle avance la main. La peau d’un de ses doigts se déchire, une goutte de sang perle le long de son bras. Enfin, la porte s’ouvre. La jeune fille avance dans une obscurité quasi-totale, seule une lumière brille au loin. Très lointaine, très faible. Elle s’avance vers elle, bras tendu. Mais la lumière semble s’éloigner au fur et à mesure qu’Ostara s’en approche. Et pus soudain, c’est la chute. Le noir total, un cri perçant la nuit et le sol se dérobant sous ses pieds. Durant la chute, elle entend. Elle voit. Elle sent. Des images fugaces de son village. Les voix de ses proches. Leurs cris. Une odeur de sang. Le goût du souffre. Et une douleur qui lui tords les entrailles. Et puis…
« - AAAAAAAAAAAAAAH !!! »
Et puis elle se réveille en sursaut. Trempée par la sueur, le goût et les odeurs oniriques s’évaporant peu à peu au contact de la réalité. Elle reprend pied – tout doucement – avec l’éveil, laissant le monde des rêves derrière elle. Mais maintenant, elle sait. Elle en est sûre. Quelque chose ne va pas, au pays. Et il faut qu’elle découvre de quoi il s’agit. Assise dans son lit, elle essaie du plus fort qu’elle peut d’y voir plus clair, d’entrer en transe, de commander ses visions… Mais rien. La déesse qui l’habite semble absente, comme morte. Comme à chaque nouvelle lune, Ostara est seule.
Et toi derrière l'écran ?
Vous pouvez m'appeler Eowynette, Shieldmaiden ou encore Lyra. J'ai bientôt vingt-sept étoiles dans le ciel de ma vie et pour le moment, je travaille avec les enfants. Je me suis inscrite ici car j'ai une très forte envie de reprendre le RP (j'ai de très longues années de pratique derrière moi mais aussi malheureusement une très longue période pause / d'essais infructueux suite à la fermeture d'un forum il y a quelques années. Forum qui était devenu comme ma deuxième famille). De plus, même si je suis loin d'être à jour, j'aime beaucoup la série The Librarians. C'est une série qui m'a très vite attirée vu qu'à la base j'aimerai être... Bibliothécaire ! Oh et... Faites attention, je suis un peu sorcière sur les bords...
Coucou je suis de retour n'hésite pas a terminer ta fiche biz ^^
Angélina Carter
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Messages : 170 Date d'inscription : 12/12/2015 Age : 39 Localisation : Dijon
Sujet: Re: Ostara Pratchman - La Triple Déesse Ven 27 Avr 2018 - 20:04
Coucou ! Désolée... Désoléééée j'suis complètement passé à côté de ma fiche... Est-ce que je peux me donner un délais de deux semaines pour tenter de me remettre le pied à l'étrier et de finir ma fiche ? Si je n'y parviens pas, on pourra me supprimer du forum. La reprise est plus dure que ce que je pensais...
Ostara Pratchman
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Messages : 9 Date d'inscription : 07/03/2018 Age : 33 Localisation : Le nez dans un livre, les cheveux au vent
Sujet: Re: Ostara Pratchman - La Triple Déesse Sam 28 Avr 2018 - 17:12
je peut même te laisser trois semaine pour vraiment t'y remettre je suis un boureau non plus ^^ je peut comprendre que la vie prend le dessus^^ et puis on va dire que le hiatus que j'ai eu a cause de mon ordi compte pas alors panique pas va ^^ promis dès que ta fiche et terminer je veux bien un petit rp avec toi
Angélina Carter
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~ Godess of The Sea ~
Messages : 170 Date d'inscription : 12/12/2015 Age : 39 Localisation : Dijon
Sujet: Re: Ostara Pratchman - La Triple Déesse Mar 1 Mai 2018 - 14:17
Merciiiiiiiiiiiii !!!
*se met à écrire frénétiquement*
Ostara Pratchman
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Messages : 9 Date d'inscription : 07/03/2018 Age : 33 Localisation : Le nez dans un livre, les cheveux au vent
Sujet: Re: Ostara Pratchman - La Triple Déesse Sam 26 Mai 2018 - 10:49
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Si tu as des difficultés, que c'est la première fois que tu joues, Jenkins et ses astuces t'attendent par ici. Pour le reste nous te laissons fouiller.